18 août 2009

By By Jacinthe

"C'est une belle journée, je vais me coucher, une si belle journée qui s'achève... ", joue l'alarme de mon cellulaire (c'est une chanson de Mylène Farmer). Il est 4 h 00 et le moment  est arrivé. je flâne encore au lit une bonne demie heure. Dès les premières notes de l'alarme, Lucie se lève et va réveiller sa sœur. Je suis le dernier à m'arracher du lit, mais c'est pas grave, les gars, ça se prépare toujours beaucoup plus vite que les filles. Après le dernier petit déjeune, c'est les embrassades et les pleurs entre les deux sœurs (c'est surtout Lucie qui pleure beaucoup). Je prend la valise de Jacinthe et nous descendons en direction de la voiture. Ma Mère est sur le balcon (il est 5 h 00 du mat), je la soupçonne d'avoir programmé son réveil pour ne pas louper le départ de Jacinthe. Il fait 22°C lorsque nous arrivons à la gare. J'accompagne Jacinthe jusqu'à la voie G où se trouve son train. nous montons tous deux à bord pour repérer son siège et poser sa valise, puis nous redescendons sur le quai.  A quelques minutes du départ, embrassades, Jacinthe rejoint son siège et à 5 h 29 très précisément (la légendaire précision de la SNCF), le train démarre. nous échangeons quelques signes de la main. Voilà, le séjour de Jacinthe parmi nous vient de s'achever.

Bon voyage Jacinthe, et à bientôt...

Dernier jour de Jacinthe à Chamalières

Mots rouges cliquables.

7 h 00, debout, Lucie reprend le travail et je l'amène au centre Jean Perrin.

De retour à l'appart. Jacinthe vient de finir son p'tit déj. et elle décide de faire le ménage avant sont départ, elle passe donc une bonne partie de la matinée avec aspirateur et balais en main puis va sous la douche. Ensuite, direction Auchan à Aubière où elle a quelques emplettes à faire. Lorsque nous arrivons, le parking est déjà pas mal rempli, ce qui laisse présager beaucoup de monde à l'intérieur. Nous faisons nos achats tout de même assez vite. Jacinthe fais le plein de confit de canard, achète de la crème d'aloès pour traiter l'énorme feu sauvage de sa sœur et 3 chaises de camping pour que nous puissions continuer, pendant les beaux jours, à prendre l'apéro dans la cour en arrière de chez nous (merci Jacinthe). Elle achète aussi une bonne bouteille de vin rouge pour en faire cadeau à ma Mère. De retour à Chamalières, nous trainons un peu dans l'appartement avant d'aller tenir compagnie à Kévin et à Ma mère pour le déjeuner. Au menu, salade de betteraves rouges, épaule d'agneau accompagnée de flageolets, fromages. A la fin du repas, je rentre chez nous, je m'installe sur le canapé et... je pique du nez. Jacinthe restée chez ma Mère me tire de mon sommeil en arrivant vers 15 h 00. Nous nous dirigeons en voiture à la gare de Royat Chamalières pour acheter son billet Clermont Paris, puis, comme nous avons du temps avant que Lucie ne sorte de son travail (elle sort à 16 h 00) nous allons prendre une bière à la Petite Vitesse, un bar tabac restau proche de chez nous. 15 h 45, notre bière vidée, nous sautons dans la voiture et prenons la direction de Jean Perrin. Nous récupérons Lucie. Les filles, qui d'habitude me disent toujours de couper la clim et d'ouvrir les fenêtres de la voiture, me demandent cette fois-ci, de partir la clim. C'est vous dire s'il fait chaud. Le dernier dîner de Jacinthe parmi nous se fera chez ma Mère. Au menu, filet mignon de porc, poutine Auvergnate (c'est un essai). Frites, fromage Cantal doux, sauce chasseur (sauce avec des champi). Hé ben pour un premier essai, c'est plutôt très réussi, on en refera. Après cet agréable et nourrissant repas arrosé d'un Bergerac blanc très fruité, nous rentrons nous coucher. Demain le réveil sonne à 4 h 00, le train de Jacinthe quitte la gare de Clermont-Ferrand à 5 h 29. 



17 août 2009

16 Août, journée "on fait rien"

Voilà, aujourd'hui, on a rien fait, ou presque, et ça en grande partie à cause de la chaleur étouffante qui règne sur la région (environ 36°C). Ce matin, le ciel était pourtant voilé, mais en fin de matinée, gros dégagement et on a plus vu un nuage de la  journée.

En matinée, Lucie et Jacinthe vont faire quelques courses dans les magasins d'alimentation du quartier et notamment acheter un gâteau d'anniversaire pour moi. Hé oui, cette année je serai fêté deux fois, aujourd'hui, et le 19. Jacinthe qui sera déjà rentrée à Trois-Rivières à la date commémorant ce jour béni qui me vit naître il y a maintenant 49 ans, veut fêter avec son beau-frère.

L'après-midi, comme il fait très très chaud, on décide de rester "à la fraîche" dans l'appart. et de regarder un film. J'en propose plusieurs aux filles et leur fais lire le synopsis. Elles optent pour "La cité de l'ombre". On ferme les volets pour éliminer le reflets du soleil sur l'écran télé, on déplace canapé et fauteuils pour s'installer le plus confortablement possible et on lance le film. Après environ 10 minutes de visionnement, Lucie commence à passer des commentaires du style :

- c'est tu plate comme film... Etc.

Jacinthe, toujours solidaire avec sa sœur, se lève sans mot dire, rapidement suivie par cette dernière.

Elles me plantent là tout seul devant ma télé, prennent chaises, table basse de quoi se désaltérer et descendent s'installer dans la cour située derrière notre bâtiment. 

Je fini de regarder mon film dans une tranquillité impériale (en plus, il était vraiment bien ce film) et je vais les rejoindre en bas, une grosse bière en main. Il est 17 h 00 passé, c'est donc l'heure de l'apéro. Jacinthe va se chercher une grosse bière dans le frigo, elle la partage avec Lucie. Quelques dizaines de minutes plus tard, c'est au tour de ma mère d'arriver avec son tabouret en main et comme c'est toujours l'heure de l'apéro (ça dure longtemps, en France), je vais chercher la bouteille de Ricard, une bouteille d'au fraîche, des glaçons et... des verres. On entame donc le Pastis et les chips. un peu plus tard, c'est au tour de Kévin de venir nous rejoindre. pour lui, ce sera un Porto. Jacinthe, qui a fini sa bière, attaque le Ricard. On discute bien, on prend quelques photos et on commence à plier, c'est presque l'heure de passer à table. En entrée, escargots, puis cabillaud et petit légumes avec sauce aux agrumes, façon Lucie (délicieux) en plat de résistance, arrosé d'un très bon rosé frais à souhait, ensuite, assortiment de fromage avec un coup de Bordeaux rouge, et enfin, le gâteau mousse chocolat et pralines accompagné d'une Clairette de Die. Le repas fini, on débarrasse la table, Ma Mère et Kévin s'en vont, on regarde un peu la télé et Lucie va se coucher, demain, reprise du boulot pour elle :-(

Jacinthe continue de me tenir compagnie un petit moment devant la télé, puis va se coucher à son tour. moi, j'irai beaucoup plus tard, vers minuit. Depuis le début de l'été, c'est la première nuit où il fait aussi chaud. difficile de s'endormir avant 3 h 00 du Matin (en ce qui me concerne).

Le blog "Visite de Jacinthe en France" tire à sa fin, plus qu'une journée avant le départ.


15 août 2009

Bronzette au lac d'Aydat (juste les filles)

Mots en rouges cliquables

Pas de photos aujourd'hui. 

Je vais la faire brève.

Matinée classique.

vers 13 h 30, j"emmène les filles au lac d'Aydat.

Y fait très chaud 35°C à Chamalières et 32 une fois arrivés à Aydat.

Moi, la plage, chu tanné. Donc je les pose là-haut et je redescends à Cham.

Vers 15 h 30, je remonte avec Kévin, on fait une petite promenade sur le sentier qui fait le tour du lac puis on se dirige vers le bar proche de la plage (vers chez nous, dès qu'y a une plage, y a toujours un ou plusieurs bars à proximité). On prend un verre tranquille et on téléphone aux filles pour leur signaler notre présence. Elle plient leur matériel et rappliquent.

Retour à Cham.

On dîne chez ma mère, riz de veau, salade fromages le tout arrosé d'un excellent Château Smith Haut Laffite 2005.

En dessert, île flottante et choux à la crème maison avec une fraîche Clairette de Die pour faire descendre tous ça... Que du bonheur.

On flâne un peu à table, ma mère a invité sa voisine d'en dessous pour le casse-croûte, donc quatre femmes ensemble, ben ça placote dur.

De retour à l'appart. un peu de télé et aux plumes.

Bonne nuit, à demain.



14 août 2009

Bronzette au lac Chambon...... Encore

Mots en rouges cliquables


Bon, me rev'la,il est 21 H 00, on vient de finir de manger des rissoles salades chez ma mère, j'ai le ventre blindé et je filerais plus pour "m'éfoirer" sur la canapé que pour composer le résumé de la journée. Je vais quand même faire un énorme effort et m"afférer à la narration de ce jour qui fût encore très chaud et ensoleillé (plus chaud pour certain que pour d'autres comme vous pourrez le constater). Matinée classique, même programme et mêmes horaires que les journées précédentes. 13 h 30, direction le Lac Chambon.Hé oui... encore. Dés notre arrivée, Lucie et Jacinthe entreprennent de se beurrer la totalité du corps avec de la crème solaire derrière la voiture. Elle sentent à 50 mètres à la ronde. Crèmage réalisé, nous accédons au lac, direction la cabane de location de pédalos. Je paye 15 € et en laisse 10 de caution. Nous embarquons et c'est les filles qui commencent à pédaler. Au bout de 20, 25 minutes, nous sommes en plein milieu du lac et Jacinthe s'aperçoit que le pédalo est équipé d'une "échelle", certainement là pour faciliter l'accès des passagers désirant faire trempette Elle se lève d'un bond, réajuste ses bobettes, sa brassière et dit : "y m'semb qu'y fait chaud !!! j"vais aller juste m'saucer pour rafraîchir". Elle empoigne donc la fameuse échelle en question pour se mettre à l'eau, et là, elle s'aperçoit que la dite échelle n'en n'est en faite pas une, ça ressemble à une échelle, mais il n'y a pas de barreaux. Basta, elle se balance à l"eau pendant quelques minutes et, rafraichie et souriante, elle attrape les montants de la pseudo échelle et essaie de remonter à bord... sans succès. j'ai oublié de dire qu'à l'endroit où elle se trouve, le lac est quand même profond et qu'elle n'a pas pied. Elle tente de remonter  sur le pédalo d'à peu prêt toutes les manières possibles et imaginables (pas évident de se hisser à la force des bras, regardez sa face sur les 2 photos ci-dessous et voyez comme elle en bave). Au final, elle contourne le pédalo, et réussie à grand peine à se hisser sur le pont. Kévin et moi prenons les pédaliers et rentrons tout doucement au quai d'appontage. Je récupère la caution, nous allons à la voiture chercher les sacs et les serviettes de plage, sans oublier notre magnifique parasol acheté à la Grande Motte et direction la plage. Kévin et moi qui ne sommes pas des adeptes fous de la bronzette, décidons le faire le tour du lac à pied. en chemin, nous nous arrêtons dans un bar pour nous désaltérer. De retour à la plage, nous retrouvons les filles en train de se faire toaster, nous leur suggérons d'aller prendre une glace à l'hôtel de la plage situé 10 mètres derrière nous. Après nous être rafraîchis, retour plage environ 1 quart d'heure, puis retour à Chamalières où ma mère nous attend pour dîner. End of day.

Balade Super Besse/Sommet du Sancy

Les mots en rouge sont cliquables.

Le 13 août.

Lever vers 9 h 00, p'tit dèj. et flânage jusque vers 12 h 30, heure à laquelle nous prenons le chemin de Super Besse, dans le massif du Sancy. Avant d'attaquer notre "micro rando", nous allons nous restaurer à la terrasse d'une crêperie. Il fait très beau et le soleil commence à taper fort. Jacinthe et Lucie prennent des pâtes arrosées d'un Perrier, Kévin et moi, une galette de blé noir "Aveyronnaise". Repas pris, nous nous dirigeons vers la station de téléphérique. le téléphérique nous dépose au Puy de la Perdrix et nous entamons notre marche en direction du sommet du Puy de Sancy qui est le point culminant du Massif Central à 1886 m d'altitude. Arrivés au sommet, petite pause, nous admirons le paysage. Le ciel est dégagé et nous voyons loin. Au sud, les monts du Cantal, au nord, la chaîne des Puys, à l'est, les monts du Livradois et du Forez, à l'ouest, La région du Limousin. Une vue imprenable à 360°. Jacinthe s'exprime sur le fait qu'il y a énormément de fourmis volantes et Kévin lui fait remarquer, à juste titre qu'il n'y a pas que les fourmis volantes qui sont en nombre en faisant allusion aux très nombreux touristes présents sur le site. Après la traditionnelle séance photo, nous commençons la descente et après quelques centaines de mètres, nous nous "éfoirons" dans l'herbe, face au Puy Gros en surplomb du Cirque de la Fontaine Salée. Face à nous, se dressent les mont du Cantal. Un autre instant "être tu ben". Le temps passe, et nous devons prendre le chemin de la station de téléphérique qui ferme à 17 h 30. Vers le Puy Ferrand, nous tombons sur un troupeau de plusieurs centaines de moutons encadré par 2 bergers suppléés de plusieurs chiens, nous regardons quelques instants. Impressionnant, le travail des chiens qui savent exactement quoi faire et qui réagissent instantanément  aux moindres ordres verbaux ou gestuels des bergers. Nous arrivons au téléphérique. La descente sur Super Besse est... très chaude. Les cabines téléphérique sont transformées en cabines sauna tant il fait chaud. Nous en profitons pour discuter avec des gens de la région Parisienne qui, après avoir rapidement remarqué que Jacinthe et Lucie ont un accent... pas français, se mettent à poser de nombreuses questions sur le Québec. De retour à Super Besse, dégoulinant de sueur, nous nous empressons de retourner à la terrasse de la crêperie. Glace pour Jacinthe et Lucie, bière pour Kévin et moi. Nous prenons la voiture et nous arrivons à Chamalières vers 18 h 30. Ce soir, dîner à la terrasse du Moulin des Pierres, située dans un des plus jolis parcs, au cœur de la station thermale de Royat, à 5 minutes à pied de chez nous. Le repas se déroule de façon très agréable, nous mangeons très bien, dans un cadre enchanteur et avec une température idéale. Vers 10 h 00, retour au foyer. Fin de la journée.

Mercredi 12

Aujourd'hui, rien de spécial.

On récupère de notre escapade dans le sud. On se lève vers 9 h 00, p'tit déj. relax.

Début d'après-midi, les filles vont à la piscine de Chamalières, située à 5 minutes de marche de chez nous. Je profite de ce moment de tranquillité pour rédiger et mettre en page le récit de notre balade dans le sud. 

Le calme disparaît brusquement avec le retour des filles vers 18 h 30. Nous sommes invités chez ma mère pour le repas du soir, puis retour à l'appartement et dodo de bonne heure.

12 août 2009

Les Mots en rouges sont cliquables.

Enfin de retour après presque trois jours passés dans le sud (département 34 Hérault).

Je n'ai pas pu tenir le blog à jour durant notre escapade dans le sud. L'hôtel annonçait le wifi gratuit, mais malheureusement, ça ne fonctionnait pas.

Jour 1.

Le voyage se passe bien, nous partons de Clermont sous un ciel plutôt voilé. En arrivant dans la Haute-Loire, le ciel s'obscurcit et on commence à prendre quelques gouttes et arrivés dans le Cantal, c'est le déluge orageux qui ne cessera qu'une fois  franchi le département de la Lozère. En arrivant dans l'Aveyron, la pluie commence à cesser et le ciel se dégage petit à petit. Nous roulons toujours sur l'A 75 et nous sommes en vue du péage du viaduc de Millau. Le pont le plus haut du monde passé, nous traversons le plateau du Larzac puis nous arrivons au Pas de l'Escalette. Là, ça commence à sentir le sud. Le thermomètre de la voiture indique 28°C à la sortie du tunnel de l'Escalette et nous commençons la descente du contrefort sud du Massif Central. Au fur et à mesure de notre descente, la température augmente, 29, 30, 31, 32, 33°C en l'espace de quelques km. Le ciel est complétement dégagé, pas un nuage en vue. Bon, maintenant, on va se fier au GPS pour nous conduire à notre hôtel dans Montpellier. Après quelques tours et détours dus à ce GPS de #er@e (surtout, n'achetez pas de via Michelin, de toute façon Michelin n'en fabrique plus... et tant mieux), nous arrivons devant l'hôtel. Nous déposons nos bagages, nous reprenons la route direction Aigues-Mortes et ses remparts. Y fait une chaleur... terrible. On passe à la caisse, et pour 21,00€ (pour nous trois), on entame le tour de la ville sur les remparts. Après notre ballade "rempartesque", nous visitons le reste de la ville, de nombreuses boutiques de linge, et de souvenir nous font passer le temps jusqu'à 19 h 00. Nous dégotons un petit restau sympa et nous nous restaurons avant de prendre la direction de l'hôtel.

Arrivés à l'hôtel, au lit, nous nous endormons, mais vers 1 h 00, réveil. la chambre voisine de la nôtre abrite des jeunes sans savoir vivre aucun qui foutent le bordel jusque vers 4 h 00 du matin, donc, nuit pas trop top pour nous.

Jour 2, journée "être-tu ben" !!!

Ça sera une journée plage, il semble. Le ciel est bleu, sans nuage aucun et il fait très très chaud. Le réveil sonne  vers 7 h 30, le temps de prendre la douche, nous prenons le petit dèj. à L'hôtel vers 9 h 00, puis direction les plages entre Carnon et la Grande Motte. Vers 10 h 00, nous sommes à "pied d'œuvre" et nous déployons nos outils de travail (serviettes de plage, crème solaire, lunettes et chapeaux de soleil). Séance bronzette puis, trempette dans la Méditerranée puis séchage rebronzette... Au bout d'un moment, on commence à avoir faim. On décide d'aller  à la  Grande Motte à pied en longeant le bord de mer en quête d'un endroit pour se restaurer. La Grande Motte c'est quand même loin à pied... Au bout d'une grosse heure et demie de marche, on arrive au port mais les restau sont de l'autre côté. On appelle le traversier et pour quelques €, on passe de l'autre côté. Il est déjà 14 h 00 et la plupart des restaurants on fini leur service. Heureusement, on en trouve tout de même un qui fonctionne non-stop. On déjeune bien... Même très bien et pour pas trop cher. puis on va se faire une petite ballade sur le port pour digérer. Ensuite, on recall le traversier















et on retourne finir la digestion où ça ??? Ben Oui !!! Sur la plage bien sûr. Et c'est reparti, bronzette et baignade. Moi, j'ai pris des bons coups de soleil et j'ai la face toute rouge, pareil que si on m'avait trempé la tête dans une bassine d'eau bouillante. Les filles ont été plus prévoyantes et surtout plus raisonnables que moi, elles ont pris soin de se badigeonner de crème solaire. Vers 16 h 30, on quitte la plage direction l'hôtel où on va prendre une petite douche pour éliminer le sable et le sel qui nous collent à la peau. Un peu plus tard, on prend la direction de Jacou, à quelques kilomètres de Montpellier, pour aller récupérer Kévin et Yoan. Ce soir, on les emmène manger au restau à Montpellier. 

Montpellier, l'été quand il fait beau, c'est très très très animé, ça grouille de monde et les terrasses des nombreux bars et restau sont remplies. Une fois les enfants embarqués, nous nous dirigeons donc vers le centre-ville de Montpellier et nous allons nous stationner au Corum. Nous sortons du parking par la place de la Comédie. Tout en se baladant, on commence à regarder les menus affichés. On fait quelques photos de l'endroit. Non loin de la Place de la Comédie, on repère un p'tit restau italien sympa pourvu d'une terrasse accueillante, l'Arezzo. On jette un œil sur la carte, la fille qui place le monde nous dit que pour le moment il n'y a plus de place mais que d'ici 20 minutes, ça devrait être OK . On réserve. Pendant l'attente, Kévin et Yoan font découvrir les alentours du centre-ville à Jacinthe. Bon, les 20 minutes étant écoulées, nous retournons à notre terrasse et nous nous installons pour un bon repas. Les filles commandent une assiette de gambas avec pâtes au pesto et autres ingrédients agréables et goûteux. Kévin, Yoan et moi optons pour un plat italien ayant un nom tordu dont je ne me souvient pas de toute façon, mais tout ce que je peux dire, c'est que c'est excellent. C'est composé de sorte de brochettes de mini paupiettes de veau avec une sauce basilic et aneth servie avec des tagliatelles al dente, succulent. Le repas est arrosé d'un très frais et délicieux Chardonnay blanc. Les filles ne prennent pas de dessert. Kévin et Yoan prennent une coupe de glace aux fruits rouges chantilly et moi un café gourmand (hmmmmmm !!!). Le gavage fini, nous retournons à la voiture et nous ramenons les enfants à Jacou. Encore une journée de passée. Cette nuit, on a mieux dormi que la nuit passée mais vers une heure du mat, on a quand même été réveillé par des éclats de voix provenant d'une chambre voisine, mais ça n'a pas duré. 

Jour 3 Journée "être tu ben, mais moins ben qu'hier parce que c'est la dernière" 

7 h 00, le réveil sonne. On se lève, on se lave et on va petit déjeuner. On fait les valises, on règle la note de la chambre. Le patron de l'hôtel nous dit qu'aujourd'hui sera la journée la plus chaude, 33°C annoncés. On prend la direction de Jacou pour récupérer Kévin que les filles ont réussi à convaincre de venir avec nous à la plage. 9 h 00, Kévin est prêt, Yoan et Audrey viennent juste de se lever, il nous rejoindront à la plage un peu plus tard.  

Quand on arrive à la plage, il fais déjà très très chaud. Jacinthe décide de louer pour la journée des chaises longues et parasol pour pouvoir se faire dorer dans le confort, voire le luxe. Arrivés proche des chaises longues, elle commence à zigonner après le parasol pour l'orienter, et là, elle s'aperçoit que le parasol est fixe. Le gérant de l'affaire lui explique qu'il faut déplacer les chaises autour du parasol en fonction du déplacement solaire et là, là... Elle est très très déçue. Bon, on fait avec, on déplace nos chaises pour avoir de l'ombre... C'est pas le top. Tout l'espace chaises longues est entouré avec une tenture pour prévenir les projections de sable en cas de rafales de vent, sauf qu'aujourd'hui, y a pas de vent et on étouffe carrément, et là, là Jacinthe, elle est encore plus déçue. Elle décide que finalement, la location des chaises longues, ça serait juste pour la matinée ce qui reviendra quand même beaucoup moins cher. Entre-temps arrivent Yoan et Audrey. Vers 12 h 30, la faim commençant à se faire sentir, nous allons dans une gargote de plage située non loin de là et nous nous installons pour un repas léger compte tenu de la très forte chaleur qui règne actuellement. Il fait tellement chaud qu'il est impossible de marcher sur le sable pieds nus sans se brûler. Tout le monde prend une salade (délicieuses d'ailleurs, les salades). Le repas terminé, Jacinthe, Lucie, Audrey et Yoan font quelques pas en direction de l'eau, déploient leurs serviettes et s'étendent au soleil pour digérer. Moi, je décide de marcher jusqu'à la Grande Motte pour acheter un parasol, j'ai assez rôti comme ça hier, et en plus, la bronzette, c'est pas vraiment mon truc. Kévin qui est un peu comme moi, m'accompagne. Après plusieurs kilomètres de marche sous un soleil de plomb, nous arrivons tous deux, dégoulinant de sueur et totalement déshydratés dans une des petites rues commerçantes spécialisées dans l'art et la façon de faire dépenser un maximum d'argent aux vacanciers. Nous nous dirigeons vers le  comptoir de glace le plus proche de nous, et nous prenons chacun une méga slutch, menthe bleue pour Kévin et Mangue melon pour moi. Une fois désaltérés, je fais le tour des magasins et trouve le parasol qui me convient. Nous retournons à la plage tranquillement. en arrivant, nous trouvons Yoan et Audrey, Lucie et Jacinthe sont parties marcher sur le bord de mer. Avec Kévin, nous allons nous baigner, l'eau est bonne, c'est écœurant. Ça fait environ 45 minutes qu'on est dans l'eau quand Lucie et Jacinthe reviennent de prendre leur marche, elles font "whaaaaooouuu, le beau parasol", tout du moins je suppose parce que je suis trop loin pour les entendre. Je leur fais des grands coucous, elles me voient et viennent nous rejoindre dans l'eau. Encore 20 à 30 minutes se passent et nous sortons de l'eau, nous devons nous faire sécher, ramasser les affaires, retourner à Jacou récupérer le sac de Kévin qui rentre à Clermont passer 15 jours avec nous.

Entre 18 et 19 h 00, nous prenons la route de Clermont. Le thermomètre de la voiture indique 38°C.

Vers 8 h 30,  nous arrivons à Millau ou nous faisons une halte restauration puis vers 9 h 30, nous reprenons l'A 75. Nous arrivons à Clermont à minuit. Ça y est l'escapade dans le sud est finie.
 

8 août 2009

Ballade à Montpeyroux

Tous les mots en rouge sont cliquables.

Samedi, déjà... On va visiter Montpeyroux, classé parmi les plus beaux villages de France, à environ 25 km. sud sud ouest de Clermont. le ciel est couvert, mais la température est agréable, 24°C.

Le temps passe et les épreuves vont croissantes... Cette fois, c'est pas une, pas deux, mais trois avec moi. Hé oui, trois bonnes femmes qui vont pas arrêter de me jacasser dans les feuilles. Aujourd'hui, ma mère est de la partie. On prend la route vers 12 h 00 et après une petite demi-heure de route, nous voilà arrivés à Montpeyroux.

Nous nous stationnons à l'entrée du village, en effet, le village est assez petit et les rues si étroites que seuls les résidents de la place sont autorisés à se garer dans le bourg.

C'est donc à pied que nous nous dirigeons vers le "centre-ville".

Après avoir gravi une rue possédant un respectable dénivelé, nous arrivons devant la partie haute, et hop !!! Une petite photo et nous nous mettons en quête d'un restau, il est presque 13 h 00 et tout le monde commence à avoir faim.                                                             






On passe sous l'arche des remparts que tu peux voir sur la photo ci-contre, et nous nous dirigeons vers la crêperie "le Donjon" où une très agréable terrasse ombragée nous attend. Après consultation du menu, ce sera 3 galettes de sarrasin Auvergnates (Jambon de pays, Bleu d'Auvergne, patates, lardons fumés et St. Nectaire) pour Lucie ma mère and me et une galette forestière pour Jacinthe (Jambon Champi, Emmental). Pour le dessert, ma mère prend une coupe pêche melba, Jacinthe une crêpe myrtilles, Lucie un café et moi une coupe café liégeois.

Le repas fini, vers 15 h et des bananes... nous nous baladons un peu dans les rues pour digérer. Le soleil qui pointe par moments fait monter la température et à certains instants, au milieu de toutes ces vielles pierres qui emmagasinent facilement la chaleur, on a chaud. 

Tranquillement, on prend le chemin du parking puis retour à Clermont. Ce soir, on va regarder la seconde partie du film sur la vie de Jacques Mesrine (on a vu la 1re partie hier) puis on va aller se glisser dans les plumes. Demain, on a de la route à faire, on descend à Montpellier pour 3 jours. On va chercher Kévin et peut-être Yoan, on va en profiter pour faire un peu de plage et visiter (enfin... je me sentirai quand même moins perdu au milieu de toute ces filles). L'hôtel où nous descendons à Montpellier offrant à sa clientèle le wifi gratos, je descends avec mon netbook et le blog sera tenu à jour. Bonne soirée et à demain ;-)



7 août 2009

Aujourd'hui, ciel gris, 24°C. Il est 12 h 05, on flâne dans l'appart. Lucie est en train de repasser dans le salon, elle est encore en robe de chambre. Jacinthe vient juste de sortir de la douche et moi je vais y entrer. Vu la météo du jour, Cet après-midi, il semblerait qu'on descende au centre-ville pour une super séance de magasinage. C'est pas que je déteste magasiner, mais les essayages interminables dans les magasins de chiffons des filles, c'est pas vraiment mon truc.

Quand j'en ai une seule avec moi (d'habitude, Lucie), je fais des gros efforts, je respire très souvent par le nez et j'expire sous le nombril (très zen comme méthode) et là, j'arrive à résister. Aujourd'hui, y a Lucie + Jacinthe, défi quasi insurmontable, enfin, la vie est parfois cruelle et faut faire avec. Bon, je vais sous la douche et je vous reviens plus tard pour finaliser ce compte rendu de journée.

Bon, midi, on est en route et vu que c'est l'heure du casse dalle, on s'arrête à Chamalières à la brasserie l'Européen. Déjeuner agréable sur la terrasse. Au menu, Gaspacho, filet de saumon et crème caramel pour Jacinthe. Mis à part une salade niçoise en entrée pour Lucie,  pour le reste, c'est pareil que sa sœur, le tout agrémenté d'un petit blanc. Pour moi, c'est des œufs mayo avec macédoine de légumes en entrée puis une EXCELLENTE andouillette grillée sauce aux 3 poivres avec des frites et en dessert, crème caramel. 

Après que les filles aient fait leur traditionnel et indispensable "petit pipi", on reprend le chemin du centre-ville de Clermont.

 Ça faisait pas 5 minutes qu'on marchait, que Jacinthe manifeste de nouveau une forte envie de pipi et bien sûr, Lucie qui quoi qu'il arrive reste solidaire avec sa sœur, m'explique que depuis qu'on s'est levé et qu'on a commencer à marcher, le liquide qu'elles ont absorbé au cours du repas, est en train de descendre et que, elle aussi serait très contente de trouver rapidement un endroit adéquat pour se soulager.

Nous pressons donc le pas jusqu'à la place de Jaude, direction le centre Jaude (centre commercial), on cherche les toilettes pendant au moins 5 minutes, puis on les trouve, elles y vont...OUUUFFFF !!! ça va mieux, maintenant les choses sérieuses vont pouvoir commencer, à savoir, le magasinage. On va faire un tour au 3e étage du centre Jaude chez "Maisons du Monde", j'ai des verres de dégustation pour le Bordeaux (hé hé !!!) à acheter, ensuite, on descend au rez de chaussé, à "Nature & Découvertes" où Jacinthe a des emplettes à faire. 

Après environ 20 minutes passées dans le magasin, nous traversons la place de Jaude (on en profite pour prendre une photo devant les fontaines) en direction de l'avenue des Etats-Unis. Là, il y a un magasin ou on trouve les Warhammer que Jacinthe a promis de rapporter à Médéric.



Et maintenant, c'est la partie la moins fun, les boutiques de linge. Comme y fait pas un temps trop pourri, elles vont voir leurs chiffons et moi je les attends dehors. Après quelques boutiques visitées, nous allons boire un verre à la terrasse d'une brasserie, place de la Victoire vers la Cathédrale.

Ensuite, remagasinage dans la rue des Gras où Jacinthe trouve une veste qui lui va très bien.

Il est environ 17 h 30, on prend tranquillou le chemin du retour.

On arrive chez nous vers 18 h 00, Jacinthe fait ses essayages, Lucie téléphone à Trois-Rivières à sa chum de fille dont c'est la fête. Puis les 2 vont s'asseoir sur le balcon et depuis que j'ai commencé à rédiger ce billet, elles n'arrêtent pas de se faire aller la boîte.

Bon, j'en ai plein les doigts, je stop icite. La suite demain.

Une petite parenthèse pour dire que finalement, pour moi, la journée n'a pas été si terrible que ça ;-)



6 août 2009

Plage au lac Chambon...Pfffffooouuuu !!! Encore.


Aujourd'hui, pas grand-chose de spécial. Le temps est partiellement couvert, mais avec des très beaux coins de ciel bleu. En début d'après-midi, la température est quand même de 33°C. Après la grosse rando d'hier, les filles sont "fatiguées". bref, elles ont envie d'aller se reposer façon grilled cheese, sur la plage du lac Chambon.
Elle ont décidé, j'ai pas l'choix (la prochaine fois que ta blonde vient en France, Marc, je t'en supplie, viens avec elle, à 2, on aura peut-être une petite chance d'imposer notre volonté. Tout seul, c'est mission impossible. A mon avis, les tites Magny doivent avoir de la mule dans leur ascendance généalogique pour être aussi têtues) fermons la parenthèse de mon petit chialage quotidien.
Vers 5 h 00, le ciel se couvre de gros nuages noirs, je leur suggère de plier et de prendre le chemin du retour. Pour une fois, elles m'écoutent et grand bien leur en prend car à peine rentrés dans la voiture, une trombe d'eau orageuse s'abat sur nous.
Donc, voilà le petit résumé de la journée pour mes fidèles mais trop peu nombreux lecteurs. Une seule photo cette fois, y en aura plus demain... ou après-demain.