26 déc. 2009

Joyeux Noël à tous

Toute l'équipe de la rédaction du blog, (c'est à dire moi tout seul), me joins à moi même pour vous souhaiter une excellente fête de Noël.

16 nov. 2009

Premières neiges Dans le massif du Sancy



11 Novembre 2009
En cette journée commémorative de l'armistice de la grande guerre (1914 - 1918), il fait très beau pour la première fois de la semaine, et en plus, on travaille pas, on va donc en profiter pour aller s'oxygéner un peu dans les montagnes.

Les premières neiges sont tombées sur le massif du Sancy dans le courant de la semaine dernière.
On prend un repas léger, on charge raquettes et bâtons de marche dans la Yaris et c'est parti en direction de Super Besse.
Passé le col de la Ventouse, nous apercevons au loin le massif d'un blanc lumineux se découpant avec un fort contraste sur le bleu profond d'un ciel sans nuages... Vraiment magnifique...A notre arrivée, la température est environ de 8°C. Pour nous stationner, nous n'avons que l'embarras du choix, la saison n'a pas encore commencée. Dans quelques semaines, la station sera envahie de skieurs, snowboarders et accros de la neige en tous genre.


Nous chaussons nos raquettes, et hop, en piste. En tous cas, la neige est au rendez-vous.Nous prenons le sentier qui monte au Sud, en direction de  Nôtre Dame de Vassivière.

En haut du chemin, nous avons un vue imprenable sur l'ensemble des monts du Cantal, au Sud, ils sont survolés par un épais et gris front nuageux qui se déplace dans notre direction, nous prévoyons toutefois avoir le temps de faire notre rando avant son arrivée.

Après quelques minutes à contempler le paysage, nous reprenons notre chemin. Cette sortie tiendra plus de la remise en condition en prélude à la saison qui, nous l'espérons, sera enneigée, ensoleillée et propice à de superbes et longues randonnées que nous ne manqueront pas de partager avec vous par le biais de ce blog.
Comme nous l'avions pressenti, les nuages commencent à rentrer sur le massif et la pluie n'est pas bien loin. C'est quand même un bon timing pour nous, puisque nous arrivons à la voiture alors que le soleil et le ciel bleu nous tirent leur révérence. Les pistes de ski, qui ne sont pas encore payantes et qui étaient pratiquement désertes à notre arrivée, sont maintenant envahies de familles qui s'adonnent aux joies de la glisse. Luge pour la plupart et skis ou planche pour d'autres. Nous prenons le chemin de Chamalières et retournons sous des cieux non encore perturbés par ces gros nuages qui, à mon avis, resterons accrochés un petit bout de temps aux sommets avant de venir nous agacer.

25 oct. 2009

Promenade en bord d'Allier

En nous levant ce matin, le temps est pas si pire, un p'tit coup de nuages, un p'tit coup de soleil... et hop, on recommence.
Lucie regarde sur le web comment va évoluer le temps sur la région au cours de la journée.
- Chéri, chéri, y s'annonce du soleil et pas froid, tu sais quoi ??? J'aimerai ben ça aller magasiner à Vichy, les magasins sont ouverts le dimanche, c'est les autres à mon travail qui me l'ont dit.
- Mmmhoouuaaaiiii, ça me tentais plus d'aller dans les montagnes, vers le Mont Dore ou vers le Guéry pour voir les couleurs, c'est le dernier fin de semaine, après, ça s'ra trop tard.
- Bon si tu veux, mais on va toujours là-bas et les autres m'ont dit qu'à Vichy, s'était super beau, y m'semble que ça fait très longtemps qu'on n'y a pas été... Mais bon tant-pis, on va aller dans les montagnes.
Cette fois-ci, je tiens mon bout et j'ai décidé qu'on irait dans les montagnes, et on ira dans les montagnes, c'est clos et rien ne pourra me faire changer d'avis.
Enfin bref, vers 10 h 40, nous voilà dans la voiture, en route pour Vichy...
Au fur et à mesure qu'on roule, le soleil se fait de plus en plus présent, ça va être une belle journée.
Vers 11 h 00 nous nous stationnons en bordure d'un parc arboré qui longe l'Allier.
On va faire un tour au bord de l'eau, il fait environ 15°C, pas un poil de vent, on est super bien.
On se dirige à pieds vers le centre ville à environ 500 m.
En débouchant sur la grande place du parc thermal, la chose qui nous surprend, c'est le manque de vie de l'endroit, pas un chat, pas une boutique d'ouverte, pas un restau à l'horizon. Bref une ville, mais alors morte de chez morte.
On commence à sillonner frénétiquement les rues commerçantes en quête d'un magasin ouvert, un seul petit magasin d'ouvert... mais rien !
Soudain, Lucie me lance triomphalement...
- Là !!! Tu vois j'avais raison, pointant du doigt le Monoprix du coin.
- Ouai, mais c'est le seul et y en a un à Clermont, dis-moi pas qu'on s'est tapé 70 Km. pour visiter le Monoprix local ???
L'heure avance et on commence à avoir faim, on court dans tous les sens et enfin on réussi à trouver une petite brasserie sympa et pas trop chère pour casser la croûte.
Lucie demande à la serveuse si les magasins n'ouvrent le dimanche que pendant la saison estivale.
- Non non, ils sont ouvert tous les dimanches, mais seulement à partir de 15 h 00, lui répond-elle.
Et là, avec un sourir fendu jusqu'aux oreille, elle me regarde et me dit d'un air impérial :
- Ha !!! Tu vois !!! J'tavais ben dit !!! Chriss, je l'savais, j'en étais sûre, tu vois bien qu'y faut écouter ta poupoune.
Nous quittons le restau vers 14 h 00 et en attendant l'ouverture des magasins nous nous dirigeons vers les bords de l'Allier pour prendre une petite marche.
Le soleil a maintenant pris possession du ciel et la balade est fort agréable. 14 h 40, nous nous dirigeons tranquillement vers le centre ville pour lécher les vitrines. Les rues qui une heure auparavant étaient vides, sont maintenant envahies par une foule compacte. On se croirait presque sur les Champs Élysées un jour de solde.
En fin de compte, pour une fois, c'est pas Lucie qui a dépensé, mais moi.
Vers 17 h 00, nous reprenons la voiture et nous quittons Vichy, le soleil baisse à l'Ouest.
On a pas été dans les montagnes, mais on a quand même passé une super journée.
La semaine prochaine, on ira dans les montagnes, et cette fois, rien ni personne ne me fera changer d'avis.

12 oct. 2009

Escapade d'Octobre


Coucou, me revoilà.

Je me suis dis "bon dieu, c'est pas pac'que Jacinthe est partie qui faut que le blog meure.... bon dieu d'bon dieu".

Hum hum !!!

bon, en d'autres termes, ça s'rait bête de clore sur le voyage de Jacinthe, alors que Lucie et moi, on s'balade et même qu'on a un gros fun noir et qu'on fait plein de photos.

J'ai donc décidé de vous en faire profiter, gang de petits chanceux.

Bavez quand même pas trop d'envie sur nos fabuleux voyages ensoleillés (en France), vous qui êtes pognés dans la grisaille et le froid du Québec.

Ceci étant, avec Lucie, on s'est dit que , vu qu'en France, le soleil n'arrête pas de briller et que même que pour la saison, y fait chaud, bien plus chaud et bien plus beau que les normales saisonnières, ça s'rait cool qu'on prenne quelques jours pour aller voir Kévin et Yoan, Dans le sud et que par la même occasion, on en profite pour aller relaxer en bordure de Méditerranée.

Lucie pose son jeudi 8 et son vendredi 9 Octobre et les obtient. Moi, idem.

Mercredi soir, par Internet, je réserve un hôtel à Carnon entre la Grande Motte et Palavas les flots

Jeudi, vers midi, nous voilà en route. On va faire le plein de gaz-oil, manger un morceau de chien au Mc. Do du coin et hop, en route pour le sud sous un ciel gris et pluvieux. la météo annoncée pour le fin de semaine est pas des plus géniale, et sur toute la France.

Heureusement, nous savons tous par expérience et,  quel que soit le pays où nous vivons, qu'il ne faut jamais écouter les grosses conneries que prévoit la météo, si non, on ne sortirait jamais.

Bref, lorsque nous arrivons à l'hôtel après environ 3 h 30 de route, c' est gris, sauf en extrême bordure de mer où le ciel est relativement bleu.

Nous nous installons dans notre chambre puis nous sortons explorer les environs. La température est sympa (24°C). A deux pas de l'hôtel se trouve la marina et  à moins de 4 à 5 minutes de marche, la plage. Pour accéder au centre ville de Carnon, il faut traverser la marina et pour ce faire, un pont, d'un design exceptionnel, somptueux, magnifique... etc, etc. On ne peut que féliciter l'architecte qui l'a conçu... et les artistes qui au cours des années, l'on tagué (extérieur et intérieur, plafonds et parterres inclus), comme vous pouvez en juger sur la photo... une véritable abomination...

Bon, vers 18 h 00, on traverse donc ce pont... majestueux... et nous nous dirigeons vers le centre de Carnon en quête d'un restau. On s'aperçoit très vite que c'est la morte saison. La ville n'est occupée principalement que par des retraités, beaucoup de restau et de magasins sont fermés. nous décidons d'aller prendre un verre dans une brasserie en bord de marina. Je prends une pinte de bière et Lucie un demi qu'elle ne manque pas d'échapper. Le précieux liquide se repend sur son écharpe, sa jupe et ses bottes. Sur la photo, elle sourit, on ne dirait pas comme ça, mais elle n'en a pas du tout envie.

Nous retraversons le pont moche en espérant trouver de quoi nous restaurer près de notre hôtel, mais, rien d'ouvert.  Nous retraversons pour la troisième fois le pont pas beau et finalement, notre choix s'arrête sur une gargote assez tranquille avec des menus intéressants et pas trop chers. Lucie commande une lasagne et  moi une salade de poivrons rouges et anchois en entrée, suivie d'une bavette pommes frites. Notre repas pas tout à fait achevé, le ciel s'embrase et des grondements menaçant se font entendre. Nous réglons l'addition et nous hâtons de retraverser le pont laid pour nous rendre à l'hôtel. Ça fait pas 5 minutes qu'on est arrivé, que des trombes d'eau commencent à s'abattre sur Carnon. Un orage énorme qui durera jusqu'à on ne sait pas quelle heure, puisqu'on s'est endormi avant qu'il ne cesse.

Le lendemain, on ouvre le store, le soleil brille. On se jette sous la douche, on va prendre le p'tit dèj. et on file en direction de la plage. Il est environ 9 h 30, on commence à marcher sur la plage et il fait un peu frais... Ça ne dure pas. Le soleil commence à cogner fort. Lucie quitte son chandail. On continue de suivre la plage en direction de Palavas. La température augmente, Lucie quitte son tee-shirt (rêve pas, elle s'arrête là).

Après une bonne heure de marche en bordure de mer, on arrive à Palavas. on se balade sur le port, on fait quelques photos et on cherche un restau pour midi. Dormir, se promener, manger, boire, digérer, tranquillement étendu sur le sable chauffé par le soleil méditerranéen avec pour bruit de fond le doux clapotis de la mer... Elle est pas belle la vie ???  


On trouve un restau en bordure de plage. On s'installe en terrasse, le repas est bon, le cadre des plus agréable, Lucie toutefois, se plaint qu'il fait trop chaud et me dit que ça aurait été bien si notre table était plus à l'ombre.

Repas fini, retour à l'hôtel par la plage, on prend nos serviettes, je mets mon short de bain et on file à la plage. Le temps d'étaler nos serviettes et on se jette dans l'eau, elle est tellement bonne qu'on se rentre directe dedans sans l'ombre d'une hésitation même Lucie qui est pourtant assez frileuse.








Vers 16 h 30, on plie tout, on rentre à l'hôtel prendre une douche et se changer, on doit retrouver Kévin et Yoan Chez eux. Ce soir, on sort avec eux, Kévin a réservé dans un  restau japonais dans le centre ville de Montpellier. Petite salade, soupe miso sushis petites brochettes et pâtisseries nipponnes, tout ça arrosé de saké, délicieux mais quand même assez cher.

Vers 22 h 00 après les avoir ramenés chez eux, retour à l'hôtel pour une bonne nuit de repos. 

Aujourd'hui, le ciel est bleu mais il y a un peu de vent, rien de méchant. Douche, p'tit dèj et vélo. Hé oui, l'hôtel loue des vélos, on en a donc réservé 2 la veille. Inutile de dire que j'ai du mal à tenir Lucie, elle est toute fofole. On enfourche donc nos montures puis, suivant les indications de la patronne de l'hôtel, nous nous lançons en direction de la piste cyclable. Il est 10 h 00 et il fait encore un tantinet frais. Nous commençons à rouler avec des manches longues mais au bout de quelques minutes, nous les tombons, car comme la veille, passé 10 h 00, la température monte très rapidement. Par la piste cyclable qui vraiment très agréable, nous nous rendons jusqu'à Lattes, croisant au passage, flamands roses mouettes et autres piafs bizarroïdes dont les appellations nous sont inconnues.










puis nous faisons demi tour. retour à l'hôtel, plage, baignade, bronzette, re hôtel re chez les enfants, re Montpellier et re restau en centre ville. Puis même scénario que la veille.

Demain, c'est Dimanche. le dernier jour, on commence à penser au retour, toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin qui vient toujours trop vite. On à malgré tout réservé les vélos pour la matinée. Ce matin, le ciel est complétement dégagé, pas un nuage en vue, la température est de 15°C vers 9 h 30. Nous prenons la même direction que la veille. une fois arrivé à Lattes, à environ un dizaine de Kms. nous avons la bonne surprise de tomber sur le jour du marché, un très gros marché.On barre le vélos et on fait le tour des étales. On achète des olives en vrac, marinées dans divers assaisonnements et un bocal de tomates séchées à l'huile d'olive. on renfourche les vélos et on prend le chemin du retour. On s'arrête pour manger à Palavas dans un retau lounge en bordure du port où, après un petit apéro, nous prenons une salade crevettes et agrumes (que du bonheur).

Le Repas fini, on attrape les vélos qui sont attachés après un lampadaire en bordure des quais et on retourne tranquillement à l'hôtel en longeant la plage. Toujours pas un nuage à l'horizon et il fait très chaud.

Nous grimpons dans la voiture et prenons la direction de Jacou pour dire au revoir à kévin et Yoan. Nous passons un petit moment avec eux, et vers 15 h 00 nous prenons le chemin du retour. Pas beaucoup de circulation, nous arrivons chez nous vers 18 h 15. Nous dégustons nos olives achetées ce matin avec un pastis bien frais. nous regardons un film à la télé et Lucie va se coucher, elle prend le travail à 9 h 00. Il est 03 h 40 et j'achève la rédaction de ce billet. je vais maintenant aller au lit, je mets le réveil vers 13 h 00, cette semaine je suis en poste de nuit, je commence à 21 h 00 et je finis à 5 h 00.

Bonne nuit.


18 août 2009

By By Jacinthe

"C'est une belle journée, je vais me coucher, une si belle journée qui s'achève... ", joue l'alarme de mon cellulaire (c'est une chanson de Mylène Farmer). Il est 4 h 00 et le moment  est arrivé. je flâne encore au lit une bonne demie heure. Dès les premières notes de l'alarme, Lucie se lève et va réveiller sa sœur. Je suis le dernier à m'arracher du lit, mais c'est pas grave, les gars, ça se prépare toujours beaucoup plus vite que les filles. Après le dernier petit déjeune, c'est les embrassades et les pleurs entre les deux sœurs (c'est surtout Lucie qui pleure beaucoup). Je prend la valise de Jacinthe et nous descendons en direction de la voiture. Ma Mère est sur le balcon (il est 5 h 00 du mat), je la soupçonne d'avoir programmé son réveil pour ne pas louper le départ de Jacinthe. Il fait 22°C lorsque nous arrivons à la gare. J'accompagne Jacinthe jusqu'à la voie G où se trouve son train. nous montons tous deux à bord pour repérer son siège et poser sa valise, puis nous redescendons sur le quai.  A quelques minutes du départ, embrassades, Jacinthe rejoint son siège et à 5 h 29 très précisément (la légendaire précision de la SNCF), le train démarre. nous échangeons quelques signes de la main. Voilà, le séjour de Jacinthe parmi nous vient de s'achever.

Bon voyage Jacinthe, et à bientôt...

Dernier jour de Jacinthe à Chamalières

Mots rouges cliquables.

7 h 00, debout, Lucie reprend le travail et je l'amène au centre Jean Perrin.

De retour à l'appart. Jacinthe vient de finir son p'tit déj. et elle décide de faire le ménage avant sont départ, elle passe donc une bonne partie de la matinée avec aspirateur et balais en main puis va sous la douche. Ensuite, direction Auchan à Aubière où elle a quelques emplettes à faire. Lorsque nous arrivons, le parking est déjà pas mal rempli, ce qui laisse présager beaucoup de monde à l'intérieur. Nous faisons nos achats tout de même assez vite. Jacinthe fais le plein de confit de canard, achète de la crème d'aloès pour traiter l'énorme feu sauvage de sa sœur et 3 chaises de camping pour que nous puissions continuer, pendant les beaux jours, à prendre l'apéro dans la cour en arrière de chez nous (merci Jacinthe). Elle achète aussi une bonne bouteille de vin rouge pour en faire cadeau à ma Mère. De retour à Chamalières, nous trainons un peu dans l'appartement avant d'aller tenir compagnie à Kévin et à Ma mère pour le déjeuner. Au menu, salade de betteraves rouges, épaule d'agneau accompagnée de flageolets, fromages. A la fin du repas, je rentre chez nous, je m'installe sur le canapé et... je pique du nez. Jacinthe restée chez ma Mère me tire de mon sommeil en arrivant vers 15 h 00. Nous nous dirigeons en voiture à la gare de Royat Chamalières pour acheter son billet Clermont Paris, puis, comme nous avons du temps avant que Lucie ne sorte de son travail (elle sort à 16 h 00) nous allons prendre une bière à la Petite Vitesse, un bar tabac restau proche de chez nous. 15 h 45, notre bière vidée, nous sautons dans la voiture et prenons la direction de Jean Perrin. Nous récupérons Lucie. Les filles, qui d'habitude me disent toujours de couper la clim et d'ouvrir les fenêtres de la voiture, me demandent cette fois-ci, de partir la clim. C'est vous dire s'il fait chaud. Le dernier dîner de Jacinthe parmi nous se fera chez ma Mère. Au menu, filet mignon de porc, poutine Auvergnate (c'est un essai). Frites, fromage Cantal doux, sauce chasseur (sauce avec des champi). Hé ben pour un premier essai, c'est plutôt très réussi, on en refera. Après cet agréable et nourrissant repas arrosé d'un Bergerac blanc très fruité, nous rentrons nous coucher. Demain le réveil sonne à 4 h 00, le train de Jacinthe quitte la gare de Clermont-Ferrand à 5 h 29. 



17 août 2009

16 Août, journée "on fait rien"

Voilà, aujourd'hui, on a rien fait, ou presque, et ça en grande partie à cause de la chaleur étouffante qui règne sur la région (environ 36°C). Ce matin, le ciel était pourtant voilé, mais en fin de matinée, gros dégagement et on a plus vu un nuage de la  journée.

En matinée, Lucie et Jacinthe vont faire quelques courses dans les magasins d'alimentation du quartier et notamment acheter un gâteau d'anniversaire pour moi. Hé oui, cette année je serai fêté deux fois, aujourd'hui, et le 19. Jacinthe qui sera déjà rentrée à Trois-Rivières à la date commémorant ce jour béni qui me vit naître il y a maintenant 49 ans, veut fêter avec son beau-frère.

L'après-midi, comme il fait très très chaud, on décide de rester "à la fraîche" dans l'appart. et de regarder un film. J'en propose plusieurs aux filles et leur fais lire le synopsis. Elles optent pour "La cité de l'ombre". On ferme les volets pour éliminer le reflets du soleil sur l'écran télé, on déplace canapé et fauteuils pour s'installer le plus confortablement possible et on lance le film. Après environ 10 minutes de visionnement, Lucie commence à passer des commentaires du style :

- c'est tu plate comme film... Etc.

Jacinthe, toujours solidaire avec sa sœur, se lève sans mot dire, rapidement suivie par cette dernière.

Elles me plantent là tout seul devant ma télé, prennent chaises, table basse de quoi se désaltérer et descendent s'installer dans la cour située derrière notre bâtiment. 

Je fini de regarder mon film dans une tranquillité impériale (en plus, il était vraiment bien ce film) et je vais les rejoindre en bas, une grosse bière en main. Il est 17 h 00 passé, c'est donc l'heure de l'apéro. Jacinthe va se chercher une grosse bière dans le frigo, elle la partage avec Lucie. Quelques dizaines de minutes plus tard, c'est au tour de ma mère d'arriver avec son tabouret en main et comme c'est toujours l'heure de l'apéro (ça dure longtemps, en France), je vais chercher la bouteille de Ricard, une bouteille d'au fraîche, des glaçons et... des verres. On entame donc le Pastis et les chips. un peu plus tard, c'est au tour de Kévin de venir nous rejoindre. pour lui, ce sera un Porto. Jacinthe, qui a fini sa bière, attaque le Ricard. On discute bien, on prend quelques photos et on commence à plier, c'est presque l'heure de passer à table. En entrée, escargots, puis cabillaud et petit légumes avec sauce aux agrumes, façon Lucie (délicieux) en plat de résistance, arrosé d'un très bon rosé frais à souhait, ensuite, assortiment de fromage avec un coup de Bordeaux rouge, et enfin, le gâteau mousse chocolat et pralines accompagné d'une Clairette de Die. Le repas fini, on débarrasse la table, Ma Mère et Kévin s'en vont, on regarde un peu la télé et Lucie va se coucher, demain, reprise du boulot pour elle :-(

Jacinthe continue de me tenir compagnie un petit moment devant la télé, puis va se coucher à son tour. moi, j'irai beaucoup plus tard, vers minuit. Depuis le début de l'été, c'est la première nuit où il fait aussi chaud. difficile de s'endormir avant 3 h 00 du Matin (en ce qui me concerne).

Le blog "Visite de Jacinthe en France" tire à sa fin, plus qu'une journée avant le départ.


15 août 2009

Bronzette au lac d'Aydat (juste les filles)

Mots en rouges cliquables

Pas de photos aujourd'hui. 

Je vais la faire brève.

Matinée classique.

vers 13 h 30, j"emmène les filles au lac d'Aydat.

Y fait très chaud 35°C à Chamalières et 32 une fois arrivés à Aydat.

Moi, la plage, chu tanné. Donc je les pose là-haut et je redescends à Cham.

Vers 15 h 30, je remonte avec Kévin, on fait une petite promenade sur le sentier qui fait le tour du lac puis on se dirige vers le bar proche de la plage (vers chez nous, dès qu'y a une plage, y a toujours un ou plusieurs bars à proximité). On prend un verre tranquille et on téléphone aux filles pour leur signaler notre présence. Elle plient leur matériel et rappliquent.

Retour à Cham.

On dîne chez ma mère, riz de veau, salade fromages le tout arrosé d'un excellent Château Smith Haut Laffite 2005.

En dessert, île flottante et choux à la crème maison avec une fraîche Clairette de Die pour faire descendre tous ça... Que du bonheur.

On flâne un peu à table, ma mère a invité sa voisine d'en dessous pour le casse-croûte, donc quatre femmes ensemble, ben ça placote dur.

De retour à l'appart. un peu de télé et aux plumes.

Bonne nuit, à demain.



14 août 2009

Bronzette au lac Chambon...... Encore

Mots en rouges cliquables


Bon, me rev'la,il est 21 H 00, on vient de finir de manger des rissoles salades chez ma mère, j'ai le ventre blindé et je filerais plus pour "m'éfoirer" sur la canapé que pour composer le résumé de la journée. Je vais quand même faire un énorme effort et m"afférer à la narration de ce jour qui fût encore très chaud et ensoleillé (plus chaud pour certain que pour d'autres comme vous pourrez le constater). Matinée classique, même programme et mêmes horaires que les journées précédentes. 13 h 30, direction le Lac Chambon.Hé oui... encore. Dés notre arrivée, Lucie et Jacinthe entreprennent de se beurrer la totalité du corps avec de la crème solaire derrière la voiture. Elle sentent à 50 mètres à la ronde. Crèmage réalisé, nous accédons au lac, direction la cabane de location de pédalos. Je paye 15 € et en laisse 10 de caution. Nous embarquons et c'est les filles qui commencent à pédaler. Au bout de 20, 25 minutes, nous sommes en plein milieu du lac et Jacinthe s'aperçoit que le pédalo est équipé d'une "échelle", certainement là pour faciliter l'accès des passagers désirant faire trempette Elle se lève d'un bond, réajuste ses bobettes, sa brassière et dit : "y m'semb qu'y fait chaud !!! j"vais aller juste m'saucer pour rafraîchir". Elle empoigne donc la fameuse échelle en question pour se mettre à l'eau, et là, elle s'aperçoit que la dite échelle n'en n'est en faite pas une, ça ressemble à une échelle, mais il n'y a pas de barreaux. Basta, elle se balance à l"eau pendant quelques minutes et, rafraichie et souriante, elle attrape les montants de la pseudo échelle et essaie de remonter à bord... sans succès. j'ai oublié de dire qu'à l'endroit où elle se trouve, le lac est quand même profond et qu'elle n'a pas pied. Elle tente de remonter  sur le pédalo d'à peu prêt toutes les manières possibles et imaginables (pas évident de se hisser à la force des bras, regardez sa face sur les 2 photos ci-dessous et voyez comme elle en bave). Au final, elle contourne le pédalo, et réussie à grand peine à se hisser sur le pont. Kévin et moi prenons les pédaliers et rentrons tout doucement au quai d'appontage. Je récupère la caution, nous allons à la voiture chercher les sacs et les serviettes de plage, sans oublier notre magnifique parasol acheté à la Grande Motte et direction la plage. Kévin et moi qui ne sommes pas des adeptes fous de la bronzette, décidons le faire le tour du lac à pied. en chemin, nous nous arrêtons dans un bar pour nous désaltérer. De retour à la plage, nous retrouvons les filles en train de se faire toaster, nous leur suggérons d'aller prendre une glace à l'hôtel de la plage situé 10 mètres derrière nous. Après nous être rafraîchis, retour plage environ 1 quart d'heure, puis retour à Chamalières où ma mère nous attend pour dîner. End of day.