13 juil. 2012

Jeudi 28 Juin 2012
Il fait beau pour notre première journée de vacances.Vers 15 h 00, une voiture se gare, Lucie se précipite sur le balcon comme elle le fait depuis midi, dés qu'elle entend une voiture ralentir dans la rue.
Ouiiiiiiii !!! C'est eux !!! Les voilà !!! C'est eux !!! Ils sont là !!! S'exclame t'elle en faisant un triple salto suivit d'un double saut périlleux arrière vrillé.
Je me lève de devant le PC et avant que j'ai le temps de me rendre sur le balcon, Lucie est déjà en train de descendre les escaliers quatre par quatre à la rencontre de nos visiteurs. Je fais demi tour et lui emboîte le pas. Nous retrouvons Denis Chantal Francis et Mélissa dans la cour de l'immeuble et après moult embrassades et bisage, nous allons à leur voiture pour récupérer les valises. Nous rencontrons ma mère qui revient d'une visite chez le dentiste. Nous grimpons tous au 1er étage où nous faisons péter le bouchon d'une bouteille bien fraîche  de rosé d'Espagne. J'en prends un verre avec Chantal, Denis préfère une bière.
Après s'être désaltéré, comme le soleil brille, on va faire un tour au petit parc proche de chez nous, puis on pousse jusque vers l'église de Royat.
Francis traîne sa planche dans l'espoir de se faire quelques frayeurs dans les descentes abruptes des environs.


Au retour de la promenade, proche de chez nous, nous perdons Francis qui a finalement décidé de se risquer dans la descente de la rue Pierre Curie.
Chantal commence à descendre la rue pour voir si elle ne le trouve pas, tandis que Denis, Mélissa, Lucie et Moi patientons un peu plus loin. Après de longues minutes sans nouvelle de notre téméraire surfeur à roulettes et, Chantal ayant à son tour disparue, nous abandonnons Denis et Mélissa à leur attente pour aller faire quelques courses avant la fermeture des magasins.
De retour des commissions, nous retrouvons Francis, marchant d'un bon pas, à quelques dizaines de mètres de chez nous, sa planche sous le bras. Finalement, tout le monde à bien retrouvé son chemin.

On allume le barbecue et on dore steaks, saucisses et patates. Chantal découvre ce jour, la meilleure bière qui existe au monde.



Pendant la préparation du souper, certains ont un petit coup de pompe et en profitent pour relaxer.


 Une fois nos artistes réveillés, on passe à table.

La fatigue du voyage est encore bien présente et Lucie et moi nous retirons pour abandonner nos invités aux bras de Morphée.


Vendredi 29 Juin 2012


Belle journée, pas trop de nuages, température, agréable. après un déjeuner dîner, nous partons pour le lac Chambon. Pas trop de monde, les vacances de Juillet n'ont pas encore officiellement commencées. Nous nous installons sur la plage, à proximité de grands arbres qui pourront nous fournir de l'ombre (ça tombe bien, j'ai oublié de prendre les parasols).

Après une petite baignade, Mélissa et Chantal décident de se faire dorer au soleil.

Francis, Denis, Lucie et moi décidons de faire le tour du lac.



Qui c'est l'boss ??? Hein !!!

En face d'où on est posé, c'est à dire dans le dos de Lucie qui prend la photo, y a des commerces... des bars, entre autres, donc, on en profite pour faire une petite pause glace avant de reprendre le tour du lac.



Une fois le tour bouclé, on reste encore un peu à lézarder au soleil, pis on prend le chemin de Chamalières mais en passant par le col de la Croix Morand où nous faisons une petite halte photos. Denis est bien impressionné par les cloches que les vaches ont autour du cou et dont le son nous parvient en provenance de la vallée, plusieurs centaines de mètres en contrebas.




Pis, un petit arrêt aux roches Tuilière et Sanadoire.


Et c'est le retour pour le souper.

Bon, le souper ce soir, c'est un moment GRANDIOSE pour Chantal, et je pèse mes mots.
En effet, ce soir, celle qui disait : Je cite :
- JAMAIS JE NE MANGERAI DE SAUCISSON, BEUUURK !!!


Hé hé hé !!! Hé oui !!! Et en plus, elle a trouvé ça bon. Vous n'avez qu'à contempler le sourire ravi, épanouis et extatique illuminant son visage après avoir avalé sa première tranche, pour vous en convaincre.

- JAMAIS AU GRAND JAMAIS JE NE GOÛTERAI A DU FROMAGE BLEU OU QUE C'EST QU'Y A PLEIN DE MOISI DESSUS !!! BEUUUHAAAA !!!


Bon ! Là, c'est dommage, mais je l'ai pas pris en photo quand elle était en train de se parjurer, mais, mais mais mais mais, je vais vous conter comment ça s'est passé, Ha ha ha !!!
J'étais assis au bout de la table de la salle à manger, dos à la fenêtre. Chantal était debout, à ma gauche, lorgnant avec dédain sur l'assiette photographiée ci-dessus, assiette composée, soit dit en passant de nos quatre principaux fromages régionaux, à savoir : Saint Nectaire, Cantal, Bleu d'Auvergne et Fourme d'Ambert (ce soir là, il n'y avait pas de Gaperon, heureusement, mais ça vous comprendrez en lisant l'épisode du souper du 3 Juillet chez ma mère).

Gaperon

Donc, Chantal se sentant coincée, et ne pouvant pas vraiment se défiler à la dégustation (surtout après que son chum ai goûté à tout), remplit un verre de rouge (sans doute pour faire passer l'horrible goût du bleu), prit un petit morceau de pain sur lequel elle tartina un petit morceau de bleu d'Auvergne, inspira puissamment et, résignée, porta l'abomination à sa bouche. Dans la pièce, un silence pesant se fit.
Tous les regards étaient fixés sur elle, le temps suspendit son vol. Puis, après une ou deux brèves secondes qui  semblèrent durer une éternité, sans bouger ne serait ce qu'un cil, le visage totalement impassible, elle lâcha simplement, "c'est bon ! ".
Alléluia !!! Allah akbar !!! Ouuuuuffff !!! Test réussi pour nos spécialités régionales.

Pour Digérer, on va prendre une petite marche, vers le parc thermal, puis nous continuons vers les hauteurs de Royat, et, retour à l'appart. Encore une journée qui a passée bien trop vite.







Samedi 30 Juin 2012

Matinée comme d'hab, rien de spécial, à part Denis qui se sent d'humeur guerrière et à des envies de trancher la couette de sa fille. Heureusement, nous réussissons à le maîtriser.  


Après son accès de folie, une grande fatigue s’empara de lui.


Après midi, visite du centre ville de Clermont-Fd.
Après le dîner, on descend à pied vers la place de Jaude. 



Il fait beau (pour le moment), le soleil tape fort et nous décidons d'aller faire un tour aux Galeries Lafayette pour nous acheter des couvres chefs et profiter de la clim.


Là, on dirait Maurice Chevalier et son célèbre canotier

Après une bonne demie-heure de farfouinage et d'essayage, nous trouvons, Denis et moi notre bonheur.
En quittant le magasin, nous prenons la direction de la cathédrale via la rue du 11 Novembre. Là, Mélissa et Chantal s'engouffrent dans un magasin de godasses, et pendant ce temps, Denis Lucie, Francis et moi nous achetons glaces et sluch que nous commençons tranquillement à déguster à la terrasse du Mc.Do.
Le temps change.
Le ciel devient sombre.
Le temps change trés trés vite et quelques grosses goûtes de pluie commencent à tomber.
Puis 10 secondes plus tard, c'est des trombes d'eau qui s’abattent sur le centre ville.
Les rue qui étaient pleine de monde se vident à une vitesse éblouissante.
Chacun s'abrite où il peut.
Dans le magasins ou sous leurs auvents.
Et puis tient donc, la grêle maintenant, la totale, on est gâté.
Puis, la grêle cesse, il ne reste plus que cette grosse pluie d'orage, du genre qui  fait dégueuler les bouches d'égouts.
Après dix minutes, un quart d'heure, ça va en se calmant et les rues commencement timidement à retrouver leur animation.
C'est sous un ciel encore très chargé et qui laisse encore échapper suffisamment de gouttes de pluie pour nous agacer, que nous rejoignons la cathédrale.




A cause de la pluie, nous ne pourrons pas monter dans la tour.
Nous nous risquons à mettre le nez dehors pour voir si le temps s'améliore.




Bon, il y a encore quelques gouttes, mais rien qui puisse arrêter une poignée de braves tel que nous.
Après un bref passage sur la place de la Victoire, pour admirer l'exterieur de la cathédrale, nous prenons par la rue des Cordeliers, toute proche et allons voir la cour de la maison Savaron, petit chef d'oeuvre architectural qui abrite une crêperie.



Là, le résidu de pluie qui nous agace depuis tantôt est en train de reprendre de la vigueur et nous pensons sérieusement à trouver un abris au cas où...
A peine sommes nous arrivés sous un porche de pierres, que c'est reparti pour un tour, la pluie, et la grêle et encore la pluie, et la température qui baisse.


Après 15 20 minutes, le ciel commence à s'éclaircir et nous repartons.
Arrivés place de Jaude, on se demande si on remonte en bus ou bien si on tente le retour à pied.
On opte pour la seconde solution.



On passe par le parc Montjoly





Les dernières centaines de mètres qui nous séparent de chez nous, on les fait presque au pas de course, parce que le ciel a de nouveau viré au gris sombre et les premières gouttes de pluie commencent,t à se faire sentir.
Bref, on arrive à temps, et c'est reparti pour un tour. Ça va être comme ça tout le reste de la journée, et en plus, ce soir, c'est le festival de pyromélodies de Royat, à mon avis, les pétards, y risquent d'être mouillés.

On part le barbecue et on dîne saucisses.

La pluie ayant cessée pour l'instant, on se prépare,

Et on file au festival de pyromélodie en priant le ciel pour qu'il nous foute la paix, tout du moins, pendant la durée des feux d'artifice.







On verra deux feux sur trois.
La pluie revient nous emm... et nous nous dépêchons de rentrer cher nous. on ferra les dernières dizaines de mètres à la course sous une pluie battante et on arrivera trempés jusqu'aux os.
La pluie cesse et nous entendons le troisième feux d'artifice, mais comme minuit est déjà passé, nous allons nous coucher.

Dimanche 01 Juillet 2012

Y fait un temps tristounet.
On traîne un peu au lit.


Après dîner, le temps est toujours aussi merdique.
On regarde un film et ensuite, c'est une petite balade au parc Bargoin, tout proche.










Au retour, c'est flânage puis souper, film et dodo.

Lundi 02 Juillet 2012

Aujourd'hui, le temps est pas si pire, enfin... Il y a même du soleil.
On déjeune, 


on prépare sacs à dos et casses croûte et direction le Puy de Dôme par le chemin des muletiers.

Le temps est idéal pour la grimpette, mais on a quand même chaud et on transpire.












Enfin au sommet, on s’attable à la terrasse du resto pour avaler nos sandwichs.
Denis qui à une fin de loup va se chercher une cuisse de poulet et des frites au self.





En fin de repas, je commande un café... un expresso, c'est a dire une tasse minuscule contenant à peine 3 ou 4 gorgées de café dynamité, c'est comme ça qu'on prend le café par chez nous.
Chantal et Denis, en bons québécois qui n'aiment pas le café trop fort, demandent au serveur s'il ne peuvent pas avoir un café moins fort, mais dans une grande tasse , et pour deux.
Le garçon, pose regard dubitatif sur Denis, puis sur Chantal, puis de nouveau sur Denis en se demandant s'il a bien compris leur logique. Après quelques secondes de réflexion, il leur propose, non pas de leur apporter une tasse de café pour deux, mais une tasse d'allongé à chacun, proposition à laquelle nos deux amis adhèrent d'emblée. L'altitude à parfois la fâcheuse tendance à bloquer les neurones des personnes qui n'y sont pas habitués et à les faire délirer.     






Le petit train à crémaillère, opérationnel depuis le mois de Mai.

C'est bien connu, tout ce qui monte doit redescendre, et nous n’échappons pas à la règle.



Denis que je soupçonne d'être légèrement maniaque du déclencheur de Kodak photographie tout ce qui bouge, même très très lentement... La preuve ci dessous avec ce cliché d'une superbe limace dans la force de l'âge.



De retour au parking de l'immeuble, ma Mère est sur le balcon et nous invite à monter chez elle, ce que nous faisons.







Nos visiteurs sont tous impressionnés par la taille de la pauvre tortue de Floride qui depuis environ 20 ans passe la majeur partie de son temps à essayer de s'échapper de la bassine en plastique dans laquelle elle vit.

Après cette montée du Puy de Dôme qui n'était en fait qu'un petit entraînement et un très léger avant goût de la randonnée du lendemain, Lucie propose d'aller se rafraîchir à la piscine à vagues située à 300 mètres de chez nous. Tous le monde y va, sauf moi... Hé oui, il faut bien que quelqu'un se sacrifie pour aller faire les courses (en fait, ça m'arrange, la piscine, j'aime pas ça).
Alors que je suis en train de ranger l'épicerie, Denis et Francis débarquent. On voulait pas les laissé rentrer parce qu'il n'avaient pas de maillots de bain réglementaires (une grosse connerie de règle débile en vigueur dans la majorité des piscines françaises. Tu ne peux pas aller te baigner avec un short de bain ou un bermuda, parce que, soit disant, c'est pas hygiénique. Par contre, si t'as un slip de bain réglementaire, même s'il est sale dégueu parce que ça fait deux semaines que tu le portes, là, tu peux aller te baigner).
Bref, Lucie s'est fâchée toutes rouge, on leur a finalement prêté des maillots et ils ont pu se baigner.
Donc , Denis et Francis reviennent, avec Denis on prend une bière en attendant les filles qui sont restée pour attendre la série de vagues suivantes.
A son retour, Chantal qui, depuis son arrivée, a déjà vidé trois caisses de 20,

est toute contente de voir que son beau frère à pensé à elle en faisant les courses et en débouche une, même si elle n'est pas encore tout à fait assez fraîche.
On allume le barbecue, ce soir, burgers et poutine auvergnate. Je m'occupe des frites, Lucie, se la sauce et de la découpe du Cantal doux pendant que Denis assure le cuisson de steaks et des pains hamburgers. On mange à s'en faire péter la panse, et après avoir flâné à table assez tard, on va tous au lit, demain, on va faire une randonnée, une vraie, pas un truc de gamin.


Lundi 03 Juillet 2012


Après le p'tit déj. tout le monde est sur le pied de guerre.
Les lunchs sont prêts, les sacs sont bouclés.
On prend des bâtons de marche pour tout le monde, on monte dans les voitures et après 35, 40 minutes de route, on se stationne sur le parking à l'entrée de la vallée de Chaudefour.


Au début du parcours, à côté du parking, y a la maison de la réserve qui est dotée de toilettes et ça tombe très bien parce que les filles ont envie... Les filles ont toujours envie.
Une fois ces dames soulagées, nous attaquons notre randonnée.






On commence l’ascension.


Et on grimpe.


On grimpe.


On fait une petite halte, même plusieurs.






Et on repart et on grimpe encore et toujours.





Enfin on arrive sur la plaine des moutons.


Pas un seul mouton sur la plaine des moutons, mais par contre, y a  pleins de bourrins.










On recommence à monter.



Et encore.





Et on monte encore.


Et c'est pas fini.





Le brouillard tombe sur le Puy Ferrand.





La pause casse croûte en dessous du Puy de la Perdrix.

Le Sancy, enfin, plus qu'1.3 km de grimpette et on y est.





Sur les hauteurs des centaines de martinets s'empiffrent de nuées d'insectes.



 Col de la cabane. Face à nous, le Puy de Sancy.
On descend un peu plus bas, prêt à attaquer l'ultime montée, et là, Chantal doute.
Doit-elle tenter l'ascension ou doit-elle se diriger vers l'auberge des cimes pour satisfaire à un besoin naturel ?
Après plusieurs minutes de réflexion, accompagnée de Lucie et Denis, elle se dirige vers l'auberge.
Les jumeaux et moi, on grimpe.

Une fois  au sommet, je me pose sur un banc et attends l'arrivée de Lucie Denis et Chantal qui arrivent un bon 20 minutes plus tard par les escaliers.


 Puis, c'est la descente à pied pour Denis Francis et moi, et en téléphérique pour Lucie Chantal et Mélissa.




On remplit nos bouteilles à la fontaine Ste. Anne.


Une unité de traite mobile.

De retour au voitures, nous prenons la route des remontes pentes des pistes du Mont Dore pour aller récupérer nos femmes.
Au retour, nous en profitons pour visiter le village et nous désaltérer à la terrasse d'un bar.




Un étalage qui rappellera certainement quelque chose à Gabrielle.


Retour à Chamalières, on pause nos affaires avant d'aller souper chez ma Mère. Chantal en profite pour faire une micro sieste.

On traverse pour déguster les succulentes tomates farcies de ma Maman.





Le repas est excellent et au moment du fromage, ma Mère apporte fièrement un fromage régional que nos invités n'ont pas encore goûté... Du Gaperon, notre savoureux fromage à l'ail.
Denis le sent et trouve qu'il dégage une odeur puissante. De toute façon, il n'en mangera pas, il n'aime pas l'ail. Je récupère le fromage, le sent à mon tour et le palpe. Effectivement, il sent, il sent même beaucoup et très fort. Un québécois dirait qu'il sent le calice et il aurait raison. Je me risque tout de même à le goûter. Ce fut toute une expérience, je crois que c'est la première fois de ma vie que je goûte un fromage aussi... puissant, aussi brutal. Bref poubelle tout de suite, Pas bouffable.
Pour faire passer le goût, un café suivi d'une petite eau de vie de cerise, accompagné par Francis qui boit ça comme si c'était du petit lait.
Nous prenons congé les uns des autres et allons nous coucher. Après une telle randonnée, tout le monde est plus que fatigué.
Une petite parenthèse pour signaler que, parmi tous nos visiteurs québécois, seuls Denis Chantal, Francis et Mélissa on réussit à faire la grande randonnée vallée de Chaudefour sommet du Sancy en entier, c'est quand même une randonnée de 16 km allée retour avec 8 km de montée dans des conditions vraiment pas facile.
Un grand bravo à eux autres, même si les filles sont redescendues en téléphérique.


Mardi 4 Juillet 2012


Matinée calme, le temps est pas trop mal, sans plus.
Francis, qui lundi passé avait vu des parapentes au sommet du Puy de Dôme, décide de s'offrir quelques frayeurs. Denis se dit que ça serait un beau cadeau d'anniversaire que de s'envoyer en l'air en compagnie de son fils et il décide lui aussi de faire le grand saut.
Après quelques coups de téléphone passés à la volée avec les moniteurs de parapente pour vérifier la faisabilité du projet, vu les conditions climatiques incertaines, à 12h20, nous nous habillons en hâte, fonçons aux voitures et prenons la direction de la gare au pied du Puy de Dôme.
Là, re coup de fil aux moniteurs qui nous attendent... C'est OK, les conditions météo sont encore bonnes.
On achète nos billets et nous nous engouffrons dans le petits train des volcans.


Lorsque nous débarquons du train, nous nous dirigeons d'un bon pas vers l'air habituelle d'envol, le ciel est gris, les premières gouttes de pluie commencent à tomber. Pas de moniteur... On continue d'un bon pas, ça tombe de plus en plus et on commence à être trempé. Mon cellulaire sonne, le temps que je le trouve, ça sonne plus... Je regarde qui m'a appelé, bien sûr, c'est un des moniteurs. J’essaie de le rappeler... Pas de réponse et ça pleut toujours, et on a pratiquement bouclé le tour du sommet du puy de Dôme sous la pluie, sans voir personne (les autres sont pas fous, y sont tous à l'abris). La pluie commence à cesser et le ciel s'éclairci lorsque je réussi à joindre les moniteurs au téléphone, ils nous attendaient à l'abris, à la sortie de la gare.
Ils nous explique que le gros nuage est parti et que le décollage va pouvoir se faire dans de bonnes conditions dans le quart d'heure suivant. Nous nous dirigeons vers l'air d'envol. Francis a emporté son casque avec sa caméra fixée dessus.



Nos deux casses cous son équipés et briffés avant le décollage.


Et c'est parti !


Francis, voile rouge, Denis, blanche et verte.





Après un vol d'environ une demie heure, l'atterrissage se fait sur une aire dégagée derrière le col de Ceyssat. Les moniteurs rapatrient nos hommes volants à la gare du bas.
Nous prenons le train et les rejoignons.

 Photo avec les moniteurs.

Nous allons faire un petit tour à la boutique de souvenirs située à l'étage de la gare. Denis s'achète un superbe maillot de cycliste.


De retour chez nous, on commence à préparer les valises, demain, c'est le départ pour le Sud, La Méditerranée, le soleil, la plage, la chaleur, les vacances quoi...
Avec Lucie, nous nous éclipsons un moment pour aller chercher un gâteau de fête pour Denis.
En fin d'après midi,  nous traversons chez ma mère pour le souper.



  
Vers 19h15, on passe à table et on prends l'apéro. Ma Mère à préparé son fameux boeuf bourguignon.






C'est le moment du gâteau de fête.






On boit du Champagne et on a du fun.


Après le souper, on va se coucher, demain on a de la route à faire.


Mercredi 05 Juillet 2012

Vers 9h00 9h30, après le p'tit dèj, on charge les valises dans les voitures et c'est le départ. On s’arrête dans une station pour faire les pleins, et c'est parti, sous la pluie. En descendant vers le Sud, le temps semble s'améliorer, mais c'est quand même pas formidable.


Premiers arrêt sur l'air de l'Aveyron pour la pause pipi. puis, vers 13h00, nous nous arrêtons au Mc. Do de Juvignac pour un casse croûte... Mc. Do.
Nous reprenons la route et peu de temps plus tard, nous somme redus à l'hôtel Gincko.
La Direction a Changé... 1ère surprise.
On nous donne les clés de nos chambres, nous allons déposer nos bagages et nous retournons à la réception. Là, on nous demande de régler d'avance, 2 ème surprise, vraiment pas cool.
Le temps est très changeant, nous décidons tout de même d'aller voir la mer et nous prenons les voitures pour nous diriger vers la Grande Motte pour écrire l'épisode 4 de la série "Être tu ben".
On se stationne dans le parking le plus proche du passage piétonnier qui longe la plage,




 et nous nous rendons jusqu'au port où il y a tout les commerces de souvenirs et les restaurants.
Lorsque nous arrivons au restaurant "Être tu ben" une violente averse éclate (mauvais présage), nous nous attablons à la terrasse, à l'abris de la pluie et commandons une conso. en attendant la fin de l'averse. nous en profitons également pour réserver notre table pour le souper.



L'averse ayant cessée, nous continuons notre petite balade. Nous nous arrêtons à la salle de jeu où nous dépensons quelques pièces.




  
19h15, nous rejoignons le resto pour "Être tu ben 4".
Là, on apprend que les propriétaires ont changés et le "Carrabean" a été rebaptisée" Entre terre et mer". L'hôtel, le restaurant, tout à changé, tout fout le camp, la fin d'une époque...
Après avoir consulté le menu, nous commandons, non sans tenir compte des conseils avisés et judicieux de celle qui nous semble être la nouvelle propriétaire des lieu et qui est, du reste, tout à fait sympathique.
Les assiettes sont copieuses, trop copieuses même, et, niveau qualité, ça à pas mal baissé par rapport aux autres années.



Finalement, ce qui aurait du être la soirée "Être tu ben 4", n'a été en fait, que la soirée "Être tu ben, mais quand même pas tout à fait aussi ben que ça", et en plus, dés qu'on est sorti, après avoir réglé la facture, il s'est remis à pleuvoir. Nous retournons passer un petit moment à la salle de jeux, puis nous retournons aux voiture et rentrons à l'hôtel.
Quand on arrive, c'est le gros parti, musique, bière et viande réchauffée pour ne pas dire saoule.
Il est 23h30, on monte à nos chambres pour essayer de dormir. Pour Denis, Chantal et les jumeaux, ça va, leur chambre donne derrière l'hôtel et, le bruit ne les gène pas. Nous, c'est une autre paire de manches, notre chambre donne juste au dessus de la terrasse et même les fenêtres fermées, le bruit nous empêche de dormir. Bien sûr, l'hôtel a toujours pas de clim et Lucie refuse de dormir avec le ventilo. Au bout d'un moment, elle a quand même pitié de moi et m'autorise à l'allumer en petite vitesse à condition que je verrouille la rotation et que je le dirige sur moi.
Malgré ça, impossible de dormir, la musique cesse ver 01h30 mais les fêtards continuent de parler fort jusque vers 02h30. Je ne m'endormirait pas avant 03h00, Lucie, quand à elle, ronfle depuis une bonne heure et demie. 



Jeudi 06 Juillet 2012

Vers 08h30 nous nous rejoignons pour prendre le petit déjeuner dans la salle du resto.
Là encore, la qualité à bien bien baissée par rapport à ce que nous avons connu les années précédentes, changement de direction oblige, et comme m'a dit le nouveau proprio lorsque je lui ai fait une réflexion pour le bruit de la veille, "les temps sont durs et ont se débrouille comme on peut pour arrondir les fins de mois". 
Tout de même, ça a beau être un petit déj. à volonté, quand il n'y a pratiquement rien à bouffer, on ressort en restant sur sa faim.
09h15, on est en voiture et on file vers Aigues Mortes




Je sais, on se renouvelle pas beaucoup, mais c'est quand même à voir, Aigues Mortes, non ?
Donc, traditionnelle visite de la tour de Constance et des remparts. 






Puis, une fois le tour des remparts bouclé et la sortie obligatoire par la boutique de souvenirs, nous nous dirigeons vers la place St. Louis, en quête de pitance.


Au passage, nous faisons quelques emplettes gourmandes dans un magasin de confiseries artisanales des plus accueillant.





Puis nous nous dégotons une sandwicherie des plus correctes où nous nous restaurons avant de prendre la route pour la plage de la Grande Motte.






Il fait super beau et chaud, le temps idéal pour lézarder au soleil.








On se baigne, l'eau est aussi chaude que du bouillon.
En fin d'après midi, on remballe serviettes, parasols et sacs de plage pour nous mettre en quête d'une pizzeria à Palavas le Flots.





Non, Paul, on ira pas manger chez Léo... Notre choix se pose sur une petite pizzeria à la terrasse ombragée située dans une petite rue derrière le port. Le serveur est très sympa et se propose de prendre la tablée en photo. La nourriture et la bière sont excellentes, surtout la


dégusteé par Chantal et Lucie. Nous passons un agréable moment. 






Une petite glace pour pousser tout ça ? Allez, laissons nous aller, que diable !





Et pourquoi pas une petite virée au Luna Park de Palavas avant de retourner à l'hôtel ?





Lorsque nous rentrons à l'hôtel, y a encore du monde qui parle fort en terrasse et la musique est pas mal forte. IL est environ minuit. Quelques minutes après avoir investi nos chambres, la musique cesse et j'entends quelques voitures qui partent. Super, ce soir, je vais pouvoir dormir la fenêtre ouverte.
Je me suis réjouis trop vite, le patron de l'hôtel apparemment un peu pété refait le monde jusque ver 02h00 du mat. avec un de ses chums. Il fait encore très chaud et pas question de partir le ventilo, Lucie a attrapé un rhume. tant pis, je laisse la fenêtre ouverte et comme il fait extrêmement chaud, je dors tête bêche pour avoir le maximum d'air sur le corps. Plus tard, Denis dira que je dors en 69 avec Lucie. Malheureusement, c'est pas tout à fait ça... Enfin l'image est belle et me fait réver.

Vendredi 7 Juillet 2012
Lorsque que lève le store, ce matin, le soleil illumine la chambre, le ciel est encore plus bleu qu’hier, pas un nuage dans le ciel. Vers 09h00, nous prenons nos petits déj et nous nous préparons pour aller à la plage.
Journée agréable, entre soleil plage et mer, pas grand chose de plus à dire, les photos parlent d'elles même.











A midi, nous hélons un des nombreux marchands ambulants qui arpentent la plage à longueur de journée et nous prenons sandwiches et boisons fraîches. 5.00 € pour un sandwiche et une cannette, rien à dire. Ce soir, nous allons souper à Montpellier. Vers 17h00, nous quittons la plage, retournons à l'hôtel, nous douchons et filons en direction du parking du Corum. Là, gros bordel de circulation, y a des travaux partout, on perd Denis et à l'entrée du parking, Lucie descend du char pour attendre son frère. je vais me stationner. Heureusement, 15 minutes plus tard, tout le monde s'est retrouvé. Tout en recherchant un restaurant, pour souper, nous visitons la place de la Comédie et ses environs. 







Notre choix se porte sur le restaurant "Le Carré" où nous avons déjà soupé l'an passé en compagnie de Diane, Paul, Kévin et Yoan. Le cadre est super agréable, les serveurs très sympa et des plus efficaces, la nourriture excellente.
En fait, ce soir là, ça a été notre vraie soirée "Être tu ben". Chantal a même dégusté une des meilleures entrée qu'elle ai jamais mangé de sa vie.









Comme vous pouvez le voir, on a eu ben du fun.
Pis, on commence à penser au retour, mais tranquillement.


Deux très belles filles qui jouent les Marilyne sur la place de la Comédie, sous les yeux très intéressés des passants masculins.


Pour faire digérer, Denis, Mélissa et Francis vont faire un petit tour de cheval.




La soirée se termine dans la bonne humeur.



Nous rejoignons nos voitures et c'est le retour à l'hôtel.
Cette nuit, je dors bien, pas de bruit, c'est pas le cas de Denis qui subira les aboiements d'un chien durant une bonne partie de la nuit.

Samedi 08 Juillet 2012

Ce matin je me réveille avec un petit mal de gorge, pas méchant, mais juste ce qu'il faut pour agacer. Aujourd'hui, même temps qu'hier et même programme, tout du moins pour la matinée et l'après midi. Lorsque nous arrivons à la plage, y fait déjà très chaud. Vu que je suis pas en super forme (mal de gorge plus coups de soleil douloureux de la veille) ça me tente pas de passer la plus grande partie de la journée à me cacher du soleil sous le parasol. C'est vrai que je suis peu être un tantinet ... chialeux, mais bon, ça peut arriver à tout le monde. Vers midi, on longe la plage, les pieds dans l'eau pour se rendre vers les commerces les plus proches à environ 1 km, 1.5 km pour nous acheter des sandwichs. Francis reste allongé sous le parasol, il garde nos affaires.  Denis et Mélissa prennent un petit poulet avec des frites, Chantal une assiette de pâtes avec des fruits de mer, Lucie et moi, une barquette de beignets de calmars. Nous allons déguster notre lunch, non loin de là, tranquillement assis sur le banc de pierre d'un grand parc arboré où nous trouvons un peu de fraîcheur. Après le casse croûte, ça me dis vraiment rien de retourner dans la fournaise de la plage, aussi, je décide de passer l'après midi à la terrasse ombragée d'un bar, face à la mer, avec une pinte de bière bien fraîche, les écouteurs dans les oreilles, à me délecter les yeux du ballet incessant de beautés ambrées qui déambulent gracieusement en maillots de bain.

Pendant ce temps, sur la plage...










Vers 16h30, Lucie me téléphone pour m'avertir qu'ils sont en train de plier, et me demande de m'en venir tranquillement pas vite. Une demie heure plus tard, nous sommes sur le chemin de l'hôtel. Après une petite douche et un petit moment de relaxation dans nos chambres, nous nous retrouvons et nous mettons en quête d'un restaurant pour le souper.
Nous allons d'abord dans le centre ville de Baillargues, où se trouve notre hôtel, mais, c'est Dimanche, et tout est fermé. nous nous dirigeons ensuite vers une pizzeria toute proche qui nous à été indiquée par un couple de promeneurs... Fermée aussi. En désespoir de cause, nous prenons la route de Jacou où habitent Kévin et Yoan(que d'ailleurs, nous ne verrons pas, Kévin étant à Paris pour une convention Mangas et Yoan, pas d'une fraîcheur exceptionnelle après avoir fait la fête tout le fin de semaine avec ses chums). Coup de chance, l'Assiette de Jacou est ouverte, nous soupons sur l'agréable terrasse, c'est bon et pas cher du tout. Ensuite, nous retournons à l'hôtel, demain, on se lève plus tôt que les autres jours, c'est le départ vers Avignon, puis le retour sur Chamalières.


Lundi 09 Juillet 2012

Vers 08h00, nous prenons notre dernier petit dèj au Gincko, nous chargeons les coffres des autos de nos valises et c'est le départ vers Avignon. Environ 1h 1/4 plus tard, nous sommes dans le stationnement souterrain à l'entrée de la ville. En ce moment, c'est la 66 ème édition du festival de théâtre, donc, énormément de monde dans les rues, on ne peut pas faire 10 pas sans que quelqu'un nous donne un flyer faisant la promotion d'un spectacle, des troupes théâtrales costumées, déambulent dans les rues en chantant et dansant, certains donnent de mini spectacles de rue, c'est vraiment super, toute cette animation et en plus, il fait un temps magnifique.

















Après dîner, on retourne tout doucement aux voitures et on prend la route, direction Chamalières, en passant par l'Ardèche. On cherchera en vain des champs de lavande, par contre, on verra plein de champs de tournesols. Plus on remonte vers le Nord, plus le temps se couvre. Avant d'attaquer la montée vers les monts d'Ardèche, on fait une pause dans un petit bar commerce alimentaire pour nous dégourdir les pattes et nous rafraîchir, puis nous finissons le trajet vers chez nous sous un ciel plutôt gris déversant de ci de là, quelques averses plus ou moins violentes. A notre arrivée, vers 19h00, ma Mère nous attend sur le balcon, nous déchargeons nos valises et allons souper chez elle et, c'est bien fatigués que nous allons tous nous coucher, sauf Francis, qui privé de Facebook pendant plusieurs jours, rattrapera le temps perdu et ne se couchera pas avant 03h00 du matin.


Mardi 10 Juillet 2012


Ce matin, on se lève pas trop tôt. Vers 11h30, on descend, Denis, Chantal, Mélissa, Lucie et moi, au marché de Chamalières (Francis dort encore) où nous faisons quelques achats pour le repas.



Denis, depuis qu'il est arrivé, trip ben gros sur les 2CV Citroën et n'a pas pu résister à la tentation de photographier le spécimen ci-dessous


Le reste de la journée... Rien de spécial, après dîner, lavage des vêtements, rangement, vers 15h20, je descends Denis, Francis et Mélissa, proche de la place de Jaude, ils vont au ciné voir  l'âge de glace 4. Avec Lucie et Chantal, nous allons faire des courses chez Auchan. Environ 10 minutes après notre retour des courses, nos trois cinéphiles arrivent, ils sont remontés à pied. Lucie prépare le souper, ce soir, steaks de thon rouge, ma Mère est de la partie. Fin de soirée devant la télé à regarder des films.


Mercredi 11 Juillet 2012

Vers 11h00, nous sommes sur le parking de la Fontaine du Berger pour commencer notre randonnée au Pariou. Le vent souffle fort, il ne fait pas chaud et le ciel alterne d'éclaircies et de passages nuageux.




 Au pied des escaliers du Pariou.


 La montée.



 Le sommet et le cratère.



 Casse croûte au fond du cratère.


Après être redescendus, nous décidons de nous faire l'ascension du Puy de Clerziou, voisin. Chantal nous apprend qu'elle est tannée de grimper et qu'elle nous attendra au pied du Pariou.



 La montée du Clerziou.

 Les grottes du Clerziou.





 Toutankamon ???

Yo Yo !!!

 Oh Yeeehaaa !!!


 La descente du Clerziou.

 Petite pause dégustation de fraises des bois.

 Francis vient de se faire un nouveau chum.


De retour au parking, une superbe  2CV fourgonette, Denis ne résiste pas.

De retour chez nous, nos invités commencent à boucler leurs valises, demain, pour eux, c'est le retour. Puis, un peu plus tard, on dresse la table, on commence la préparation du repas. Ce soir on fête les jumeaux.
Au menu, Pommes dauphines préparées par ma Maman, confit de canard, haricots verts et gâteaux d'anniversaire pour le dessert.







Et voilà la dernière soirée s'achève, tous le monde se couche de bonne heure, demain nos voyageurs se lèvent tôt.


Jeudi 12 Juillet 2012

A 05h30, le réveille sonne, avec Lucie, on se réveille tranquillement, on s'habille et on va dire bye bye à nos visiteurs. Rien de plus à dire sur cette journée, la plus triste de toute.